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![Louis Braille [4 Jan.1809 - 6 Jan.1852]](https://www.deficienciavisual.pt/IMAGENS/LouisBraille.jpg)
Faire écrire les aveugles, leur faire surmonter cet obstacle qui restreint si
sensiblement leurs rapports sociaux, c'est une entreprise tentée par tous ceux
qui se sont occupés de leur éducation ; c'est un sujet qui aurait dû être
proposé pour prix par les diverses sociétés de perfectionnement ; c'est un
problème à la solution duquel on trouvera peut-être que j'ai contribué.
On voit quelquefois des aveugles écrivant à l'aide d'appareils plus ou moins
compliqués ; mais ce ne sont que d'honorables exceptions qui attestent la
puissance de l'adresse unie à l'intelligence, sans constituer un mode fixe
général et facile pour écrire. De plus, ces aveugles privilégiés ne peuvent lire
leur écriture, ni même être certains que leur crayon ou leur papier noir ait
suffisamment marqué : considérations fécondes en conséquences défavorables, et
écueils que je me suis proposé d'éviter, par un procédé au succès duquel a
vivement contribué M. Fournier, digne élève et zélé collaborateur de Valentin
Haüy, le fondateur des premiers établissements pour l'éducation des aveugles, en
France et en Russie.
Marquer sur le papier des points qui représentent la forme des lettres et
fassent reliefs, voilà tout le but e ce nouveau mode d'écriture. M. Barbier a
imaginé de représenter les sons et les articulations par des agrégations de
points reposant sur des combinaisons fort ingénieuses ; il a permis ensuite que
je modifiasse son procédé, en réduisant le nombre de points de chaque
agrégation, ce qui fournit une nouvelle écriture très-répandue aujourd'hui parmi
les aveugles : "Mais, disait-on, ce ne sont là que des conventions, et les
initiés seuls peuvent lire les pages écrites suivant ces deux méthodes." Quoique
ces objections ne soient pas réelles, puisque quelques lignes d'explication
suffisent pour faire connaître à fond ces deux enseignements, elles ont été
néanmoins la cause de nouvelles recherches qui m'ont conduit à un procédé dont
voici l'explication :
Pour faire la forme des lettres, j'ai observé que, donnant quatre points au
corps de chaque caractère, il faut trois points pour la queue supérieure et
autant pour l'inférieure, ce qui produit pour la hauteur entière de la lettre
une hauteur verticale de dix points, marqués ou non marqués, suivant que la
figure du caractère l'exige ou ne l'exige pas. On peut aussi ne donner que trois
points de hauteur au corps de la lettre et deux seulement à chaque queue, ce
qui fournit une écriture plus fine, mais moins régulière que l'autre. Chaque
lettre est donc formée d'une suite de verticales : le b, par exemple, est
représenté par quatre lignes ; dans la première sont marqués le 1e, le 2e, le
3e, le 4e, le 5e et le 6e point ; dans la seconde, le 4e et le 7e ; dans la
troisième, le 4e et le 7e ; dans la quatrième, le 5e et le 6e.
On analyserait de la même manière les autres lettres et les formes les plus
irrégulières que l'on puisse supposer ; par extension même, les cartes de
géographie, les figures de géométrie, et tout le système musical.
La lettre majuscule M, si remarquable par ses dimensions, est formée de douze
verticales, composées chacune de points dont la position est marquée par les
chiffres suivants :
1e ligne ..... 1,7
2e ligne ..... 1,2,3,4,5,6,7
3e ligne ..... 2,3,7
4e ligne ..... 3,4
5e ligne ..... 4,5
6e ligne ..... 6,7
7e ligne ..... 5
8e ligne ..... 4
9e ligne ..... 3,7
10e ligne ..... 1,2,3,4,5,6,7
11e ligne ..... 1,2,3,4,5,6,7
12e ligne ..... 1,7
Pour écrire, on a des planches en bois ou en métal, sur lesquelles sont
tracées des portées formées chacune de dix raies concaves et horizontales ; on
applique sur chaque portée une espèce de grillage dont les jours ont assez de
hauteur pour laisser apercevoir les dix raies, et assez de largeur pour que l'on
puisse faire deux points de front dans chaque ligne ; on place le papier entre
la planche et le grillage, et à l'aide d'une simple pointe on fait les lettres,
en marquant à cet effet, les points indiqués par le tableau chiffré de la forme
des lettres, ou par l'esprit individuel, en observant 1° qu'il faut écrire les
lettres de droite à gauche, 2° renverser chaque lettre afin que la première
ligne à gauche, en lisant, soit la première à droite en écrivant. On facilite
cette manière d'écrire en appliquant sur le grillage une ou plusieurs traverses
extrêmement fines, pour mieux faire connaître la position des queues et du corps
de la lettre. Je ferai observer que l'on obtiendra du même coup plusieurs copies
de ce qu'on écrit, en plaçant l'une sur l'autre autant de feuilles que l'on veut
d'exemplaires et en marquant les points sur le tout.
On peut remplacer la planche rayée par une planche recouverte d'un cuir, d'un
molleton ou de tout autre objet produisant un léger foulage ; le grillage peut
être une toile métallique, une plaque percée à l'emporte-pièce, ou une réunion
de fils métalliques croisés à angles droits et soudés l'un sur l'autre.
Pour ce qui précède, on sait que tout aveugle, possédant le petit appareil
décrit ci-dessus et le tableau chiffré peut, sans maître et en quelques jours
seulement, apprendre à écrire, lors même qu'il serait dépourvu d'adresse et
d'intelligence remarquables.
L'Institution des Jeunes Aveugles de Paris vient de faire fondre des types
représentant une verticale de dix points sensibles ou non sensibles ; plusieurs
de ces caractères, combinés entre eux, donnent la forme de la lettre sur de
grandes dimensions ; ce qui permet à l'aveugle d'analyser facilement chaque
lettre et de la reproduire sur le papier à l'aide de son écritoire. On imprime,
avec les types, des alphabets, que l'on joint au tableau chiffré, afin que
chaque personne puisse apprendre à former la lettre, soit par l'inspection
qu'elle en fait, soit par la connaissance des chiffres représentant les points à
marquer.
L'appareil pour mettre en relief les figures de géométrie et les cartes de
géographie, etc. , consiste dans un châssis sur lequel repose une règle mobile ;
sur cette règle sont tracées des raies verticales larges d'une demi-ligne et
éloignées l'une de l'autre de la même quantité. On applique cet appareil sur la
carte que l'on veut reproduire, et l'on place la règle en haut du châssis ; on
examine quelles sont les limites territoriales, les montagnes, les rivières,
etc. , qui aboutissent aux raies de la règle, et l'on écrit sur un cahier les
chiffres indicateurs de ces raies.
On descend ensuite la règle d'une demi-ligne, on fait le même examen que
prédédemment, et l'on continue de la même manière jusqu'à ce que la carte soit
entièrement chiffrée.
On reproduit la carte en marquant sur le papier des points, dont la place est
indiquée par le catalogue chiffré ; la règle mobile ou les grillages, expliqués
ci-dessus, guideront pour trouver la position des points.
Pour écrire la musique, il faut :
1° Avoir une planche recouverte d'un cuir, le tout surmonté d'un châssis ;
2° Marquer sur le cuir des portées formées, chacune, de onze raies parallèles et
concaves ; les raies doivent être assez éloignées l'une de l'autre pour que l'on
puisse placer quatre points entre deux adjacentes ;
3° Mettre le papier entre le cuir et le châssis, et lui donner l'empreinte des
raies du cuir, ayant soin d'interrompre la continuité des trois premières et des
trois dernières raies de chaque portée : ces raies feront la fonction des
petites lignes usitées dans la musique ordinaire, et seront suffisamment
distinguées des cinq raies continues qui représentent les grandes lignes ;
4° Placer sur chaque portée un grillage dans les jours duquel on puisse marquer
les points représentant la forme des caractères de musique, pour lesquels on
peut avoir également un catalogue chiffré.
M. Binet, élève distingué sorti de l'Institution de Paris, a imaginé
conjointement avec moi, il y a plusieurs années, un procédé d'écriture plus
simple encore que le précédent, mais moins avantageux dans ses résultats. Pour
écrire suivant ce système, il faut 1° avoir une planche sur laquelle est
appliqué un cuir ; 2° recouvrir la planche d'un cadre auquel sont fixées des
traverses horizontales assez écartées pour recevoir l'oeil de la lettre qu'on y
doit marquer ; 3° posséder un petit casier renfermant deux lettres de chaque
espèce, lesquelles doivent être en métal, et pourraient, avec avantage, être
formées par des suites de points.
Pour écrire au moyen de cet appareil, on prend l'une après l'autre, dans le
casier, les lettres dont on a besoin ; on les appuie sur le papier qui se trouve
entre la planche et le cadre, ayant soin de reproter à mesure, dans le casier,
les lettres dont on s'est servi. Quoique ce mode d'écriture soit imparfait dans
la pratique, je l'ai indiqué, parce qu'il sera peut-être préféré par les
clairvoyants qui, sans exercice préparatoire, voudront écrire aux aveugles et
être lus par eux ; cependant je suis persuadé que ces derniers emploieront
l'autre méthode avec plus de succès.
On a fait plusieurs tentatives plus ou moins heureuses, pour rendre noire
notre nouvelle écriture : on peut, par exemple, placer sous la feuille sur
laquelle on veut écrire, un papier noirci suivant les procédé usités dans le
commerce ; mais la feuille blanche, touchant la noire par choc et non par
frottement, n'est que faiblement colorée par celle-ci. L'Art et l'expérience
feront, sans doute, connaître, un jour, une composition chimique qui fera
disparaître ces inconvénients.
TABLEAU CHIFFRÉ
DE LA
FORME DES LETTRES
a. 5 6 | 4 7 | 4 7 | 3 4 5 6 | 7.
b. 1 2 3 4 5 6 | 4 7 | 4 7 | 5 6.
c. 5 6 | 4 7 | 4 7.
d. 5 6 | 1 4 7 | 1 4 7 | 2 3 4 5 6.
e. 5 6 | 4 5 7 | 4 5 7.
f. 9 | 10 | 2 3 4 5 6 7 8 9 | 1 4 | 2.
g. 5 6 | 4 7 10 | 4 7 10 | 3 4 5 6 7 8 9.
h. 1 2 3 4 5 6 7 | 4 | 4 5 6 7 | 7.
i. 2 4 5 6 7 | 7.
j. 9 | 10 | 2 4 5 6 7 8 9.
k. 1 2 3 4 5 6 7 | 5 6 | 4 7.
l. 1 2 3 4 5 6 7 | 7.
m. 4 5 6 7 | 4 | 4 5 6 7 | 4 | 4 5 6 7 | 7.
n. 4 5 6 7 | 4 | 4 5 6 7 | 7.
o. 5 6 | 4 7 | 4 7 | 5 6.
p. 3 4 5 6 7 8 9 10 | 4 7 | 4 7 | 5 6.
q. 5 6 | 4 7 | 4 7 | 3 4 5 6 7 8 9 10.
r. 4 5 6 7 | 4 | 4.
s. 6 | 7 | 4 5 6 | 3.
t. 2 3 4 5 6 7 | 4 7.
u. 4 5 6 7 | 7 | 4 5 6 7 | 7.
v. 4 5 | 6 7 | 6 | 4 5.
w. 4 5 | 6 7 | 6 | 4 5 | 6 7 | 6 | 4 5.
x. 4 7 | 4 7 | 5 6 | 4 7 | 4 7.
y. 4 | 4 5 6 7 10 | 7 10 | 4 5 6 7 8 9.
z. 4 7 | 4 6 7 | 4 5 7 | 4 7.
ç. 5 6 | 4 7 10 | 4 7 9.
ae. 5 6 | 4 7 | 4 7 | 3 4 5 6 | 4 5 7 | 4 5 7.
oe. 5 6 | 4 7 | 4 7 | 5 6 | 4 5 7 | 4 5 7.
é. 5 6 | 2 4 5 7 | 1 4 5 7.
à. 5 6 | 1 4 7 | 2 4 7 | 4 5 6 | 7.
è. 5 6 | 1 4 5 7 | 2 4 5 7.
ì. 1 | 2 4 5 6 7 | 7.
ò. 5 6 | 1 4 7 | 2 4 7 | 5 6.
ù. 4 5 6 7 | 1 7 | 2 4 5 6 7 | 7.
â. 5 6 | 2 4 7 | 1 4 7 | 2 4 5 6 | 7.
ê. 2 5 6 | 1 4 5 7 | 2 4 5 7.
î. 2 | 1 4 5 6 7 | 2 7.
ô. 5 6 | 2 4 7 | 1 4 7 | 2 5 6.
û. 2 4 5 6 7 | 1 7 | 2 4 5 6 7 | 7.
ë. 5 6 | 2 4 5 7 | 2 4 5 7.
ï. 2 4 5 6 7 | 2 7.
ü. 4 5 6 7 | 2 7 | 2 4 5 6 7 | 7.
A. 7 | 6 7 | 5 7 | 4 5 | 3 5 | 2 5 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 7 |
7.
B. 1 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 4 7 | 1 4 7 | 1 2 3 4 5 6 7
| 2 3 5 6.
C. 3 4 5 | 2 3 4 5 6 | 1 7 | 1 7 | 1 7 | 2 6.
D. 1 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 2 6 7 (sic) | 1 7 | 1 7 | 2 3 4 5 6 |
3 4 5.
E. 1 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 4 7 | 1 3 4 5 7 | 1 7 | 1 2
6 7.
F. 1 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 4 7 | 1 3 4 5 | 1 | 1 2.
G. 3 4 5 | 2 3 4 5 6 | 1 7 | 1 5 7 | 1 5 6 7 | 2 5 6 | 5.
H. 1 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 4 7 | 4 | 1 4 7 | 1 2 3 4 5
6 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 7.
I. 1 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 | 1 7.
J. 6 7 | 1 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 | 1.
K. 1 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 4 7 | 3 5 | 1 2 6 7 | 1 7.
L. 1 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 7 | 7 | 7 | 6 7.
M. 1 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 2 3 7 | 3 4 | 4 5 | 6 7 | 5 | 4 | 3 7 | 1 2 3 4
5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 7.
N. 1 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 7 | 2 3 | 3 4 | 4 5 | 5 6 | 1 6 7 | 1 2 3
4 5 6 7 | 4.
O. 3 4 5 | 2 3 4 5 6 | 1 7 | 1 7 | 1 7 | 2 3 4 5 6 | 3 4 5.
P. 1 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 4 7 | 1 4 | 1 2 3 4 | 2 3.
Q. 3 4 5 | 2 3 4 5 6 | 1 7 | 1 7 8 | 1 7 9 | 2 3 4 5 6 10 | 3 4 5.
R. 1 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 4 7 | 1 4 | 1 2 3 4 5 6 | 2
3 5 6 7 | 7.
S. 6 | 7 | 7 | 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 | 1 | 1 | 2.
T. 1 2 | 1 | 1 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 7 | 1 | 1 2.
U. 1 | 1 2 3 4 5 6 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 7 | 7 | 1 7 | 1 2 3 4 5 6 | 1.
V. 1 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 6 | 5 | 4 | 1 3 | 1 2 | 1.
W. 1 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 6 | 5 | 4 | 1 3 | 1 2 3 4 5 6 7
| 1 2 3 4 5 6 7 | 1 6 | 5 | 4 | 1 3 | 1 2 | 1.
X. 1 7 | 1 2 6 7 | 1 2 3 5 7 | 1 3 4 | 4 5 7 | 1 2 5 6 7 | 1 2 6 7 | 1
7.
Y. 1 | 1 2 | 1 2 3 7 | 1 3 4 5 6 7 | 4 5 6 7 | 1 3 7 | 1 2 | 1.
Z. 1 2 6 7 | 1 5 6 7 | 1 4 5 7 | 1 3 4 7 | 1 2 3 7 | 1 2 6 7.
Ç. 3 4 5 | 2 3 4 5 6 | 1 7 10 | 1 7 9 | 1 7 | 2 6.
AE. 7 | 6 7 | 5 7 | 4 5 | 3 5 | 2 5 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1
4 7 | 1 3 4 5 7 | 1 7 | 1 2 6 7.
OE. 3 4 5 | 2 3 4 5 6 | 1 7 | 1 7 | 1 7 | 2 6 | 1 2 3 4 5 6 7 | 1 2 3 4 5
6 7 | 1 4 7 | 1 3 4 5 7 | 1 7 | 1 2 6 7.
CHIFFRES
1. 3 7 | 3 4 5 6 7 | 3 7.
2. 3 7 | 2 6 7 | 2 5 7 | 3 4 7.
3. 2 6 | 1 7 | 1 4 7 | 2 3 5 6.
4. 6 | 5 6 | 4 6 | 3 6 | 2 4 5 6 7 | 1 6.
5. 3 4 6 | 2 4 7 | 1 4 7 | 1 5 6.
6. 4 5 6 | 3 7 | 2 4 7 | 1 5 6.
7. 10 | 9 | 4 8 | 4 7 | 4 6 | 4 5 | 4.
8. 2 3 5 6 | 1 4 7 | 1 4 7 | 2 3 5 6.
9. 5 6 10 | 4 7 9 | 4 8 | 5 6 7.
0. 5 6 | 4 7 | 47 | 5 6.
PONCTUATION ET AUTRES SIGNES
. 7.
: 5 7.
, 8 | 7
; 8 | 5 7.
? 1 3 4 5 7 | 2.
! 1 2 3 4 5 7.
- 6 | 6 | 6.
' 2 | 9.
( 4 5 6 7 | 3 8 | 2 9 | 1 10.
) 1 10 | 2 9 | 3 8 | 4 5 6 7.
* 3 5 | 4 | 1 4 7 | 2 3 4 5 6 | 1 4 7 | 4 | 3 5.
« 5 6 | 4 5 6 7 | 4 7.
» 4 7 | 4 5 6 7 | 5 6.
IMPRIMERIE DE MADAME HUZARD (née VALLAT LA CHAPELLE)
Rue de l'Eperon, n.° 7
.... Fin de la brochure de Louis Braille - Texte intégral ....
ϟ
2 Jan 2009
Publicado por
MJA
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